Dana White dézingue les journalistes australiens : « Vous avez les plus grosses… »
Dana White ne rate jamais une occasion de critiquer les médias, mais certains articles parus en Australie la semaine dernière lui sont restés en travers de la gorge.
La semaine dernière, l’UFC et son président, Dana White, ont été vivement critiqués par les médias australiens. Une première attaque est venue de la une du Daily Telegraph Sport, qui affichait une image de Sean Strickland accompagnée de certaines de ses déclarations les plus controversées, avec une légende provocatrice : « Quelqu’un peut-il… METTRE CE TYPE KO ? » La seconde est survenue dans une tribune d’opinion publiée par le Sydney Morning Herald, dénonçant l’apparition de White dans un podcast aux côtés du Premier ministre de Nouvelle-Galles du Sud, Chris Minns. L’auteur y affirmait que voir les deux hommes ensemble lui avait « physiquement donné la nausée ».
Alors qu’il passait le plus clair de son temps à encenser le pays en amont de l’UFC 312 (tous les résultats ici), heureux du retour de l’organisation à Sydney, Dana White n’a pas pu ignorer les publications qui l’ont particulièrement agacé.
Dana White détruit la presse australienne
« Pour un pays aussi dur, où absolument tout peut vous tuer sur terre et dans l’eau. Vous avez les plus grosses f*ottes que j’ai jamais vues dans les médias » , a lâché White en conférence de presse après l’UFC 312. « J’ai vu un article où un gars disait : J’ai vu Dana dans un podcast. Il était avec le Premier ministre et ça m’a physiquement rendu malade. P*tain de m*rde… Vous avez officiellement les plus grosses f*ottes de l’histoire des médias. Juste pour être clair. »
White n’était pas réellement en colère contre cet article, mais il s’est ouvertement moqué du journaliste, trouvant ridicule l’idée qu’une simple interview ait pu le rendre malade. « On était morts de rire en lisant ça dans les coulisses. Ce type doit être le plus gros fragile de la planète. »
« Je suis un fervent défenseur de la liberté d’expression »
Quant à la couverture du Daily Telegraph sur Strickland, White ne s’en est pas offusqué, mais il a été surpris qu’un journal puisse aller aussi loin. Il reconnaît que le perdant du main event de l’UFC 312, Strickland peut être abrasif et tenir des propos extrêmes, mais il assure qu’aucun représentant du gouvernement australien ne s’est plaint de sa présence en main event.
« Je suis un fervent défenseur de la liberté d’expression. Ça semble peut-être pire ici parce que vos médias sont d’une faiblesse incroyable. Je pensais que les médias américains étaient faibles. Vous nous battez haut la main. »
Aussi positif que White ait pu être sur son séjour en Australie, on peut aisément deviner qu’il ne ramènera pas beaucoup de journaux locaux dans sa valise pour son vol retour aux États-Unis.
« Même vos propres concitoyens savent que vos médias sont faibles. Tout le monde le sait. Je ne le savais pas avant. Maintenant, je sais. »
Dana White n’a pas hésité à exprimer son mécontentement, comme à son habitude. D’ailleurs, il a exprimé son ressenti sur l’histoire entre Jake Paul et ‘Canelo’. Quoi qu’il en soit, son message est clair : selon lui, la presse australienne est bien en deçà de ses standards et a encore beaucoup de progrès à faire.
Que pensez-vous des mots de Dana White ?
Le mec vient littéralement chialer à cause de 2 articles de presse, et c’est les autres les fragiles?