Israel Adesanya s’en prend à Paulo Costa et Marvin Vettori

Israel Adesanya s’en est pris à Paulo Costa et Marvin Vettori qui s’affronteront ce samedi à l’UFC Vegas 41 samedi. Mais il lui tarde quand même ce combat.

Samedi en main-event, Paulo Costa affrontera Marvin Vettori. Les deux combattants ont déjà perdu contre Adesanya et ce dernier tient à rappeler quelque chose avant le spectacle de ce week-end (via bjpenn) :

« Ils ont tous deux été contrôlés positifs, c’est vrai, ce sont tous deux des garçons dopés. Ils ont tous les deux été pris, nous devons le faire savoir. Les gens oublient alors je dois rappeler aux gens que, oui, ce sont tous les deux des garçons dopés !« 

Même s’il accuse les deux hommes de dopage, il lui tarde quand même de voir le combat et voici son analyse :

« La plus grande arme de Vettori est son menton – cette tête qui fait bloc, cette put*** de tête de bloc LEGO. C’est sa plus grande arme dans ce combat parce qu’il peut emmener Costa dans les eaux profondes en encaissant les coups, juste en avançant et en encaissant. Je ne pense pas que le corps de quiconque puisse supporter le genre de punition que sa tête peut supporter si vous la frappez au bon endroit. Vettori a juste une tête de bois. Il peut encaisser énormément, je le lui accorde. Je dirais que sa meilleure façon de gagner contre Costa est de faire du grappling, en le bloquant et en le faisant travailler. Vettori doit être prêt à tenter des choses, plutôt que de simplement gagner du temps. »

Pour Costa, ce n’est pas la même chose :

« C’est un bon striker. Le chemin de la victoire pour Costa dans ce combat ? Le mettre KO tôt. Tu te bats contre Vettori et il a un jeu de jambes de mer**. J’ai l’impression que Costa peut le bousculer, l’écraser, mais faire attention aux takedowns parce que Vettori va essayer de faire ça, de le mettre au sol.« 

De son côté, Israel Adesanya devrait affronter Robert Whittaker pour le titre middleweight à l’UFC 270 en janvier 2022.

Et vous, que pensez-vous des propos de dopage d’Israel Adesanya ? Dites le nous en com’ !