Dopage : Sur Twitter, Jon Jones clame son innocence
Jon Jones a toujours nié s’être dopé. Et il ne change pas de discours alors qu’il se retrouve face à un risque de sanction fatal pour la suite de sa carrière.
À 30 ans, Bones vient d’être destitué du titre de Champion light heavyweight de l’UFC après avoir échoué à un test antidopage. Des traces de turinabol, substance stéroïde, auraient été détectées dans deux échantillons d’urine.
En juillet 2016, Jon Jones n’avait pu disputer l’UFC 200 après avoir été testé positif au clomiphene et au letrozole, deux substances interdites pour leur rôle potentiel dans des cycles stéroïdiens. Jones avait clamé son innocence, en arrivant à la conclusion que sa consommation de Cialis (un stimulant sexuel) était responsable de la présence de ces produits dans son métabolisme.
Hier, Jon Jones s’est exprimé sur Twitter au sujet de toute cette affaire et, une fois encore, a clamé son innocence alors qu’un fan lui demandait de dire la vérité :
Dude the truth is I would never do steroids, I put that on my children and I put that on my Heavenly Father https://t.co/i8EEbrQU5x
— Jon Bones Jones (@JonnyBones) 14 septembre 2017
« Mec, je n’utiliserais jamais de stéroïdes, je le jure sur mes enfants et sur mon défunt père. »
L’ancien Champion light heavyweight, dont le titre a été rendu à son ancien propriétaire, Daniel Cormier, encourt une suspension maximale de quatre ans.
Pensez-vous que Jon Jones continue à mentir, ou est-il une fois de plus tributaire de la consommation d’un produit dont il ignorait la composition ?