Dana White explique pourquoi il ne quittera pas l’UFC après l’histoire de la gifle

Dana White a réitéré ses remords pour ses actions de la veille du Nouvel An. Le président de l’UFC a fait sa première apparition publique pour évoquer la récente altercation physique avec sa femme. C’était lors d’une conférence de presse dans les locaux de l’UFC à Apex.

Dana White a présenté ses excuses après que TMZ a publié une vidéo de lui et de sa femme Anne se frappant au visage le soir du Nouvel An dans une boîte de nuit au Mexique. Cependant, un tollé croissant s’est élevé pour savoir si White devait être tenu responsable de ses actes. Certains suggérant que le président de l’UFC devrait démissionner.

Dana White ne partira pas

Dana White a brisé son silence lors de la journée des médias de l’UFC Vegas 67. En effet, il a abordé l’incident avec sa femme ainsi que ses répercussions. Le président de l’UFC a déclaré que son image publique et la façon dont les autres le perçoivent constituent une punition sévère en soi. De la manière dont il perçoit l’ensemble de la situation, même si son image publique est irrémédiablement ternie. Donc, sa démission en tant que président de l’organisation ne sera que préjudiciable à l’entreprise.

« Qu’elles devraient être les répercussions ? Je prends 30 jours de congé ? En quoi cela me nuit-il ? Je vous ai dit les gars, alors que nous traversions la pandémie de COVID-19, le COVID pourrait durer 10 ans, et je pourrais rester en dehors. C’est un peu comme le COVID, en fait. Mon départ nuit à l’entreprise. Ça fait du mal à mes employés. Les combattants en pâtissent. Ça ne me fait pas de mal. »

White a ajouté que le fait de traîner ce sentiment de culpabilité et la conviction que son image publique a été endommagée est une punition suffisante.

« Voici ma punition… Je dois me promener aussi longtemps que je vivrai, et c’est ainsi que je suis étiqueté maintenant. Mon autre punition est que je suis sûr que beaucoup de gens, que ce soit les médias, les boxeurs, les amis, les connaissances, qui avaient du respect pour moi, n’en ont peut-être plus à présent. Il y a beaucoup de choses auxquelles je dois faire face pour le reste de ma vie et c’est bien plus une punition que de prendre une absence de 30 ou 60 jours ».

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