Découvrez les combattants de l’UFC les plus testés au contrôle antidopage en 2024
En 2024, l’UFC a intensifié ses contrôles antidopage, soumettant certains combattants à des tests plus fréquents et rigoureux. Découvrez les noms de ceux qui ont été les plus scrutés.
L’UFC accorde une grande importance à l’intégrité et à la compétitivité de ses athlètes, même si certains estiment que le dopage n’est pas si grave. L’organisation a renforcé ses politiques de tests antidopage et de contrôle des performances en mettant fin à sa collaboration avec l’USADA au profit de l’agence Drug Free Sport International. L’objectif est de préserver l’authenticité du sport, en évitant les dérives liées au dopage et aux pratiques douteuses.
Certains combattants, qu’ils soient champions ou prétendants au titre, se retrouvent dans une position où leur éthique de travail et leur capacité à se conformer aux règles sont scrutées de près. Voici donc la liste des 10 combattants les plus testés de l’UFC en 2024, ceux qui devront faire face à un environnement de plus en plus difficile.
En tête de classement…
La nouvelle recrue de l’UFC, Kayla Harrison, a fait sensation lors de l’UFC 300 et se place en tête de liste avec un impressionnant total de 13 tests antidopage effectués en 2024. Ce chiffre élevé souligne l’engagement de l’UFC à maintenir des normes strictes en matière de dopage, en particulier pour ses athlètes les plus médiatisés.
Suivant de près cette légende du judo, Arman Tsarukyan, qui affrontera bientôt Islam Makhachev lors de l’UFC 311, cumule également 11 tests antidopage. Conor McGregor, bien que moins actif, est également au nombre des combattants les plus contrôlés, avec 11 tests au compteur, se positionnant ainsi aux côtés de l’Arménien.
Le reste de la liste
La légende de l’UFC José Aldo, qui a fait son retour dans l’Octogone cette année, a été soumis à 10 tests antidopage. L’UFC fait clairement comprendre que, qu’il s’agisse d’un vétéran, d’une légende ou d’une nouvelle recrue, il n’y a aucune distinction en ce qui concerne les tests. Même pour ceux qui enchaînent les défaites, comme Marlon Vera, qui lui aussi a subi 10 tests.
Un cas similaire est celui de Bruno Arruda, testé 9 fois au cours de l’année. C’est autant que le champion Merab Dvalishvili, qui fera son grand retour lors de l’UFC 311 face à Umar Nurmagomedov, et qui a été testé 9 fois cette année, une année marquée par son sacre dans la catégorie des bantamweights. Derrière lui, on retrouve Ian Garry et Joaquin Buckley avec 8 tests, suivis d’Anthony Smith, Amanda Ribas, Javid Basharat, Colby Covington, et le champion des poids légers, qui ont tous été testés 7 fois.
Pour les autres combattants, avec moins de 7 tests, cela semble plus être la norme selon les chiffres rapportés par le site UFC anti-doping. Ces tests rappellent que l’UFC maintient des standards stricts pour tous ses combattants, qu’ils soient nouveaux venus ou légendes. Un message clair : seule la performance authentique compte.
Pensez-vous que ces tests sont réellement efficaces ?