Joe Rogan ‘très suspicieux’ sur les victoires de Fedor au PRIDE pendant l’ère des stéroïdes
Fedor Emelianenko est-il le plus grand poids lourd de tous les temps?
Eh bien, nous supposons que cela dépend de vos critères de grandeur. De 2001 à 2009, « The Last Emperor » a remporté 27 victoires d’affilée, a remporté le titre poids lourds du championnat du PRIDE, et accumulé 21 finishs.
Certains des champions représentant l’Ultimate Fighting Championship (UFC) à cette époque, y compris Tim Sylvia, Andrei Arlovski et Frank Mir, finiront par affronter Emelianenko – puis seront détruits en un round.
Le mastodonte russe a fini par vieillir et a eu des soucis pour évoluer avec le sport, conduisant à des performances moins impressionnantes dans ses dernières années (comme celle contre Fabio Maldonado), mais Joe Rogan, commentateur de l’UFC, pense qu’il y avait une autre variable en jeu.
« Je suis très méfiant à propos de tous ces vieux combats maintenant », a déclaré Rogan sur son podcast officiel. « Je veux dire les stéroïdes, les drogues améliorant la performance, transforment un humain, c’est ce que je pense. Tout ce que tout le monde prenait à l’époque, ils étaient tous dans la même merde, Fedor battait toujours les fesses de tout le monde. »
Le vétéran des arts martiaux mixtes (MMA) Enson Inoue a rendu public en 2014 l’échappatoire dans les contrats PRIDE qui permettait aux combattants de prendre des stéroïdes. Alors qu’Emelianenko n’a jamais échoué à un test de drogue, certaines de ses acolytes des jours glorieux au Japon n’ont pas eu autant de chance.
Suspect ou pas, Emelianenko (37-5, 1 NC) est de retour, grâce à son finish au 1er round face à Mir (vidéo) au Bellator MMA le week-end dernier à Chicago. « The Last Emperor » affrontera au second tour du tounroi Chael Sonnen – pas un étranger aux tests de drogue.
Source : MMAMANIA
Comme on est en droit d’être suspicieux de Jon Jones ou de Anderson Silva aujourd’hui. Les contrôles renforcés ont mis un sérieux coup de frein à main à des pratiques courantes, mais certains continuent malgré tout, une forme de mauvaise habitude tenace. (Lesnar, Jones, AS, etc…)
N’importe comment ils l’étaient tous a cette époque, donc a jeu égale.
Joe Rogan n’est pas objectif sur ce coup.