Max Holloway est impatient de faire la guerre contre Justin Gaethje
L’UFC 300 de ce samedi 13 avril sera l’événement qui déclenchera une bataille sans précédent pour le titre BMF entre Max Holloway et le détenteur de la ceinture, Justin Gaethje.
Les anciens fans le savent et les nouveaux doivent se préparer. Max ‘Blessed’ Holloway monte en poids léger pour affronter Justin Gaethje pour le titre BMF lors de la soirée de l’UFC 300. C’est un combat que de nombreux fans attendent avec impatience car il oppose deux combattants spectaculaires, violents et sans merci. C’est certainement l’un des cocktails les plus explosifs jamais réalisés par l’UFC. Tout comme Gaethje, l’Hawaïen promet qu’il sera à la hauteur et qu’il ne ménagera pas ses efforts pour assurer un combat mémorable.
« Le fait de partager l’octogone avec quelqu’un comme Gaethje, futur Hall of Famer, est incroyable. Je ne peux pas attendre. » a déclaré Holloway à TMZ Sports. « Le seul mot qui me vient à l’esprit quand je pense à ce combat est la violence. Homme, la violence. J’ai hâte d’y être, je ne peux pas attendre. Le 13 avril est le jour ! Je ne peux pas attendre ! »
Max Holloway vs. Justin Gaethje : le main event du peuple
Bien que Max Holloway vs. Justin Gaethje ne soit pas le main event de l’UFC 300, l’Hawaïen affirme qu’il s’agit de l’événement principal du peuple et du combat que tout le monde veut voir le plus : « Nous sommes le main event du peuple, c’est certain. Nous sommes le troisième combat de la carte principale, donc c’est encore plus excitant. Nous sommes l’événement principal du peuple. Je peux y aller un peu plus tôt que d’habitude et donner aux fans ce qu’ils veulent. » a déclaré Holloway.
L’Hawaïen est considéré comme un outsider même si Poirier croit en lui. Il est convaincu qu’il peut battre Justin Gaethje et a même un plan pour la suite. Il sait aussi que Gaethje a un passif en lutte mais n’est pas sûr que ‘The Highlight’ ira dans ce sens : « Je veux dire, nous verrons ce qui se passera. Moi et lui avons fait une séance de questions-réponses ensemble et quelqu’un a demandé s’il y aurait de la lutte. Il a répondu que cela dépendait de la force avec laquelle je le frappais. Nous verrons donc si je l’ai frappé assez fort le 13 avril. »
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