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Tom Aspinall allume l’UFC à cause du classement pound for pound : « C’est de la m*rde »

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tom aspinall
Crédit : Instagram Aspinall

Tom Aspinall se considère comme le meilleur poids lourd c’est tout. Il parle du classement toutes catégories confondues.

Avant sa défense du titre intérimaire contre Curtis Blaydes à l’UFC 304, Tom Aspinall a parlé du PDG de l’UFC, Dana White, qui ne cesse de vanter les mérites de Jon Jones en tant que meilleur combattant de la planète. Jones détient actuellement le titre UFC des poids lourds après un seul combat dans la division contre Ciryl Gane à l’UFC 285, mais son héritage s’est construit en tant que champion des poids lourds légers ayant régné le plus longtemps dans l’histoire de l’UFC. Hormis une disqualification pour avoir donné des coups de coude illégaux, le CV de Jones est parfait et il se bat au plus haut niveau de l’UFC depuis 16 ans. Tout cela est impressionnant, mais Aspinall n’a toujours aucune idée de la façon dont cela équivaut à un classement toutes catégories confondues.

Tom Aspinall ne veut pas de classement pound for pound

« C’est quoi ces c*nneries de pound for pound ? » a déclaré Aspinall lors de la journée des médias de l’UFC 304. « C’est un tas de c*nneries. Ça n’a même pas de sens. Ne me lancez pas dans ce genre de c*nneries. C’est comme ça, comment peut-on avoir ce genre de [classement] ? Qu’est-ce que ça veut dire ? »

À vrai dire, il n’existe pas de définition exacte du classement toutes catégories confondues, et Aspinall a donc un argument valable. Pour certains, le terme « pound for pound » signifie simplement le meilleur combattant du monde, quelle que soit sa catégorie de poids. D’autres estiment que les meilleurs combattants « pound for pound » devraient être ceux qui ont accompli le plus d’exploits dans plusieurs divisions. D’autres définissent ça comme un test de compétences, ce qui revient à dire que si tous les combattants étaient opposés les uns aux autres à la même taille et au même poids, qui serait le meilleur ?

C’est à ce dernier argument qu’Aspinall se heurte le plus.

« Cela signifie que si tout le monde faisait la même tailleMais quoi ? » dit Aspinall. « Comment comparer le style de Demetrious Johnson à celui de Brock Lesnar et dire qu’ils sont pareils ? Ils ont des attributs complètement différents. J’ai un bulldog, n’est-ce pas ? C’est comme si je disais que si mon bulldog avait un très long cou, qui gagnerait [dans un combat], la girafe ou le chien ? C’est de la pure c*nnerie. Comment peut-on faire une comparaison ? C’est de la m*rde ».

Que pensez-vous des mots d’Aspinall ?

jose aldo documentaire

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Anthony Sterpigny Après une Licence STAPS Activité Physique Adaptée et Entrainement Sportif, Anthony a intégré l’IEJ Paris afin d’obtenir un Master Sport en journalisme. À la suite de ses études, il a rejoint le groupe RMC SPORT et plus précisément la rédaction football et sports de combat en tant que stagiaire et continue d’y travailler en tant que pigiste et même que des fois, il entre dans la cage pour se divertir. Football, boxe et MMA, aucun de ces sports n’a de secret pour lui. Meilleur technicien que Rolland Courbis, plus technique que Brahim Asloum et un étranglement arrière à faire rougir Brock Lesnar. “Send me a location !”

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